L’érosion voit double
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La technologie d’électroérosion subit une crise de croissance, en plus de celle économique. Avec un parc machines installé important, des machines qui s’usent peu et un secteur mouliste en difficulté, il s’agit aujourd’hui d’élargir un horizon quelque peu bouché.. Un sous-traitant, l’a bien compris, en orientant son activité et son investissement vers la production par érosion, pour tous secteurs de la mécanique industrielle.

Les lecteurs de Mach’Pro connaissent déjà la société savoyarde Michel Vuichard. Michel Vuichard, le fondateur, la définit comme un sous-traitant généraliste de I’ électroérosion pour tous les secteurs. Et c’est vrai que l’on retrouve aussi bien des pièces pour l’automobile, pour l’énergie, pour le ménager aussi bien que pour le luxe. Mieux, les petites, moyennes et grandes séries (plus de 10000) dépassent de loin la fabrication unitaire habituelle à cette technologie. Le dénominateur commun de ces pièces réside dans leur difficulté de réalisation.

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